La délégation norvégienne

Hugo Boris

Belfond

  • Conseillé par
    27 octobre 2016

    atmosphère, livres

    Ca commence plutôt bien, malgré quelques signes étranges. Puis la météo s’y met et la suspicion augmente.

    L’atmosphère devient de plus en plus lourde, à l’image de la neige qui ne cesse de tomber, du froid qui s’insinue partout.

    Avec le personnage principal, nous devenons suspicieux.

    Je n’y connais rien en partie de chasse, mais celle-ci m’a paru bien étrange.

    Et au final, nous, pauvres lecteurs, ne savons toujours pas qui a commis le crime….

    L’image que je retiendrai :

    Celle des livres, omniprésente : que l’on brûle pour lancer le feu, dont on arrache les pages pour faire des épaisseurs supplémentaires entre les couches de vêtements, que l’on lit et qui collent à la réalité du roman.

    alexmotamots.fr