En colocation avec les petites voix

L’auteure a eu l'envie de partager son vécu avec l'anorexie afin de démystifier cette maladie. Elle l’a subie adulte, et elle reste pour elle un langage d’expression par le corps. Ce sont tout d'abord des « petites voix » qui vous dirigent, qui cohabitent avec vous puis qui vous contrôlent. Elle a écrit les mots (maux) de ce combat dans ce journal, ces mots parfois plus faciles à écrire qu'à dire.Flamine Truillet a livré chaque jour ses peurs, ses peines, ses angoisses : parfois avec humour, parfois avec dérision ou lucidité ; mais aussi ses joies, ses réussites, ses victoires et ses petits bonheurs.Elle aimerait que ce journal soit un message d'espoir pour toutes les personnes qui souffrent d'anorexie ou qui ont un proche concerné par ce problème.C'est le cœur de l’auteur qui vous raconte ce chemin vers la vie, vers sa vie.