- EAN13
- 9782940523528
- ISBN
- 978-2-940523-52-8
- Éditeur
- Éditions des Syrtes
- Date de publication
- 09/03/2017
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 23,5 x 14 x 2,3 cm
- Poids
- 425 g
- Fiches UNIMARC
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Un détachement militaire russe est envoyé à Groznyï et prend ses quartiers dans une école abandonnée. Parmi eux, Egor Tachevski qui trompe la peur, l’ennui et la mort en se replongeant dans son enfance et l’amour de Dacha. Le soldat ne se fait pas d’illusions au milieu de ce carnage : c’est une injustice pour tout un peuple, une boucherie, et s’il ne tue pas le premier, il sera tué à son tour…
Prilepine n’explique pas ce conflit, il le décrit de l’intérieur avec justesse, à travers des images fortes et une langue concise.
« Pathologies est probablement, à ce jour, la meilleure oeuvre sur la guerre en Tchétchénie, non par sa description de ressorts secrets de cette guerre, mais par sa plongée dans ses tripes et son âme. » La Russie littéraire
« En alternant les séquences, Prilepine met en scène la double dérive d’un damné, la double défaite d’un être broyé par l’Histoire et par ses propres passions – comme un personnage de Dostoïevski qui débarquerait dans une Russie transformée en une gigantesque poudrière. » Lire
« Un rythme entêtant, des ruptures abruptes, des images fortes où l’âme slave flirte avec la détresse, la folie, l’amour et la haine. Apocalyptique. Et enivrant comme une vodka russe. » TGV Magazine
Prilepine n’explique pas ce conflit, il le décrit de l’intérieur avec justesse, à travers des images fortes et une langue concise.
« Pathologies est probablement, à ce jour, la meilleure oeuvre sur la guerre en Tchétchénie, non par sa description de ressorts secrets de cette guerre, mais par sa plongée dans ses tripes et son âme. » La Russie littéraire
« En alternant les séquences, Prilepine met en scène la double dérive d’un damné, la double défaite d’un être broyé par l’Histoire et par ses propres passions – comme un personnage de Dostoïevski qui débarquerait dans une Russie transformée en une gigantesque poudrière. » Lire
« Un rythme entêtant, des ruptures abruptes, des images fortes où l’âme slave flirte avec la détresse, la folie, l’amour et la haine. Apocalyptique. Et enivrant comme une vodka russe. » TGV Magazine
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