- EAN13
- 9791036900556
- Éditeur
- Seuil (réédition numérique FeniXX)
- Date de publication
- 1968
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Comment parler de ce recueil ? Mieux vaut donner ici quelques-unes de ces
paroles qui, elles-mêmes ont éclairé le poète sur ce poème. Il est,
semble-t-il, comme son premier lecteur, dans la proximité du simple, éclairé
sur son œuvre par la poésie même, par elle confirmé, restitué, peut-être même
désigné. « Nous savons désormais trop bien certaines choses, nous autres
hommes conscients : ô comme nous apprenons bien désormais à bien oublier, à
bien ne-pas-savoir… » Nietzsche. « C’est parce que l’homme meurt que l’homme
sait, et la parole la plus usuelle, comme la plus positive ne parle que parce
que la mort parle en elle… » Maurice Blanchot. « Voici que tu es devenu comme
la nature et ton langage autour de nous aussi privé d’attention pour nous que
les collines. » Paul Claudel.
paroles qui, elles-mêmes ont éclairé le poète sur ce poème. Il est,
semble-t-il, comme son premier lecteur, dans la proximité du simple, éclairé
sur son œuvre par la poésie même, par elle confirmé, restitué, peut-être même
désigné. « Nous savons désormais trop bien certaines choses, nous autres
hommes conscients : ô comme nous apprenons bien désormais à bien oublier, à
bien ne-pas-savoir… » Nietzsche. « C’est parce que l’homme meurt que l’homme
sait, et la parole la plus usuelle, comme la plus positive ne parle que parce
que la mort parle en elle… » Maurice Blanchot. « Voici que tu es devenu comme
la nature et ton langage autour de nous aussi privé d’attention pour nous que
les collines. » Paul Claudel.
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