- EAN13
- 9782749152820
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 27/04/2017
- Collection
- Lot 49
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Le Cherche Midi 22,00
"L'un des écrivains américains les plus importants du siècle." (George Steiner
)
Après Le Tunnel, Sonates cartésiennes et Le Musée de l'Inhumanité, William
Gass revient avec ce recueil composé de deux longs récits et de quatre
nouvelles. Ici, le narrateur n'est autre que le célèbre piano du film
Casablanca qui donne sans complexe sa version de l'histoire au cours d'une
interview riche en révélations et en coups de griffe. Là, nous faisons
connaissance avec le photographe d'une ville si désolée que même les voleurs
ne la visitent plus et où il règle en maître sur sa boutique, sanctuaire
d'images pâles et encadrées reltant une vie passée anonyme - jusqu'au jour où
un client inattendu vient tout bouleverser. Nous croiseront aussi une chaise
pliante se livrant à un étrange monologue dans l'échoppe d'un barbier...
Le diable, dit-on, gît dans les détails. Avec Regards, Gass démontre une fois
de plus sa puissance d'évocation, toujours attentif au monde muet des objets
et curieux des secrets de l'âme, usant de la langue comme d'un instrument
incomparable, nous donnant à chaque fois l'impression d'entendre des notes
derrière les mots.
)
Après Le Tunnel, Sonates cartésiennes et Le Musée de l'Inhumanité, William
Gass revient avec ce recueil composé de deux longs récits et de quatre
nouvelles. Ici, le narrateur n'est autre que le célèbre piano du film
Casablanca qui donne sans complexe sa version de l'histoire au cours d'une
interview riche en révélations et en coups de griffe. Là, nous faisons
connaissance avec le photographe d'une ville si désolée que même les voleurs
ne la visitent plus et où il règle en maître sur sa boutique, sanctuaire
d'images pâles et encadrées reltant une vie passée anonyme - jusqu'au jour où
un client inattendu vient tout bouleverser. Nous croiseront aussi une chaise
pliante se livrant à un étrange monologue dans l'échoppe d'un barbier...
Le diable, dit-on, gît dans les détails. Avec Regards, Gass démontre une fois
de plus sa puissance d'évocation, toujours attentif au monde muet des objets
et curieux des secrets de l'âme, usant de la langue comme d'un instrument
incomparable, nous donnant à chaque fois l'impression d'entendre des notes
derrière les mots.
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