- EAN13
- 9782729713010
- Éditeur
- Presses Universitaires de Lyon
- Date de publication
- 29/08/2022
- Collection
- André Gide - Textes et correspondances
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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En Italie avec André Gide
François-Paul Alibert
Presses Universitaires de Lyon
André Gide - Textes et correspondances
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782729713010
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3.99
« Lundi, 19 mai. Retour d’Italie depuis mercredi dernier » : cette note du
Journal d’André Gide contient tout ce que nous savions jusqu’ici de ce voyage
du printemps 1913, fait en compagnie de ses amis Henri Ghéon, Eugène Rouart et
François-Paul Alibert... Mais celui-ci avait conservé un journal de ces quinze
jours où il était allé de découvertes émerveillées en émotions sans cesse
renouvelées. Et ce texte inédit nous restitue les enchantements du poète dont,
l’an dernier, les PUL révélaient les quarante années de sa belle
correspondance avec Gide ; on y vit quelques jours dans la familiarité de
celui-ci, alors déjà vieil amoureux de l’Italie... Ces pages se lisent comme
on relit Stendhal, pour s’enchanter d’un rêve. Sa tendresse, son humour, son
goût pour les êtres, sa passion pour l’amour qui passe, une certaine
malédiction, tout cela qui constitue le vrai Alibert ne peut se dire
simplement. Il faut le lire dans la confidence de ce récit. C’est la part
d’infini dont il était secrètement en peine...
Journal d’André Gide contient tout ce que nous savions jusqu’ici de ce voyage
du printemps 1913, fait en compagnie de ses amis Henri Ghéon, Eugène Rouart et
François-Paul Alibert... Mais celui-ci avait conservé un journal de ces quinze
jours où il était allé de découvertes émerveillées en émotions sans cesse
renouvelées. Et ce texte inédit nous restitue les enchantements du poète dont,
l’an dernier, les PUL révélaient les quarante années de sa belle
correspondance avec Gide ; on y vit quelques jours dans la familiarité de
celui-ci, alors déjà vieil amoureux de l’Italie... Ces pages se lisent comme
on relit Stendhal, pour s’enchanter d’un rêve. Sa tendresse, son humour, son
goût pour les êtres, sa passion pour l’amour qui passe, une certaine
malédiction, tout cela qui constitue le vrai Alibert ne peut se dire
simplement. Il faut le lire dans la confidence de ce récit. C’est la part
d’infini dont il était secrètement en peine...
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