Max Jacob l'universel, Étude, inédits
EAN13
9782402225724
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Alsatia)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Max Jacob l'universel

Étude, inédits

FeniXX réédition numérique (Alsatia)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782402225724
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    7.99

  • Aide EAN13 : 9782402559058
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    7.99
« Il y a trois branches principales à la famille de Max Jacob : une branche
alsacienne, une lorraine et une branche du Comtat Venaissin. C’est à son
grand-père d’Alsace, le grand-père Samuel que ressemble surtout le poète. Le
grand-père Samuel avait lui-même un père fermier, qui disait vers les années
1802 : « Je pourrais paver la route avec des pièces de cinq francs. » Il fut
ruiné par l’invasion de 1812, mourut, et ses vingt enfants se dispersèrent sur
la France. Aussi, M. Max Jacob se découvre-t-il des cousins dans tous les
coins. Il est le cousin de Jean-Richard Bloch, celui de feu Ernest Lajeunesse,
celui de Maxime Jacob, le musicien, et par les femmes, celui de M. Sylvain
Lévi, l’illustre professeur de sanscrit du Collège de France… Il est aussi
cousin des « Nouvelles Galeries », des « Dames de France » et autres « Dufayel
». Le grand-père passa, à l’âge de dix ans, un hiver dans les campagnes
glacées de l’Alsace à déterrer les pommes de terre et les carottes avec l’une
de ses sœurs, la tante Julie devenue la grand-mère de Jean-Richard Bloch, la
belle-mère de Sylvain Lévi et la grand-mère de nombreux millionnaires. Le
grand-père devint colporteur – on pense qu’il parcourut la France comme
apprenti tailleur, – fut ouvrier à Tours et à Paris. À Paris, il rencontra une
demoiselle Chailly, ouvrière dentellière, dont les arrière-grands-parents
étaient d’Avignon (c’est un titre de noblesse). Ils s’épousèrent. » Robert
Guiette, « Vie de Max Jacob »
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