- EAN13
- 9782358721530
- Éditeur
- La fabrique éditions
- Date de publication
- 25/08/2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Rendre le peuple heureux
Rapports et décrets de ventôse. Institutions républicaines.
Louis de Saint-Just
La fabrique éditions
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782358721530
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6.99
Dans ce petit livre, on trouve les deux aspects essentiels de la pensée de
Saint- Just. Dans les décrets de ventôse, il propose de distribuer les biens
des riches contre-révolutionnaires aux révolutionnaires pauvres, pour libérer
le peuple de sa dépendance matérielle envers ses ennemis. Les Institutions
républicaines, qui ne furent pas publiées du vivant de Saint-Just, prévoient
une transformation de tous les domaines de l’existence, de l’éducation des
enfants à la propriété foncière, de la façon de se nourrir à la liste des
fêtes civiques. Chemin faisant surgissent les formules qui ont fait la gloire
de Saint-Just : « Vous avez voulu une République ; si vous ne vouliez point en
même temps ce qui la constitue, elle ensevelirait le peuple sous ses débris »
– et plus loin : « Les malheureux sont les puissances de la terre; ils ont le
droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. » Admirables
paroles, qui prennent aujourd’hui une actualité renouvelée.
Saint- Just. Dans les décrets de ventôse, il propose de distribuer les biens
des riches contre-révolutionnaires aux révolutionnaires pauvres, pour libérer
le peuple de sa dépendance matérielle envers ses ennemis. Les Institutions
républicaines, qui ne furent pas publiées du vivant de Saint-Just, prévoient
une transformation de tous les domaines de l’existence, de l’éducation des
enfants à la propriété foncière, de la façon de se nourrir à la liste des
fêtes civiques. Chemin faisant surgissent les formules qui ont fait la gloire
de Saint-Just : « Vous avez voulu une République ; si vous ne vouliez point en
même temps ce qui la constitue, elle ensevelirait le peuple sous ses débris »
– et plus loin : « Les malheureux sont les puissances de la terre; ils ont le
droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent. » Admirables
paroles, qui prennent aujourd’hui une actualité renouvelée.
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