La Panzerdivision Wiking : la lutte finale (1943-1945), La lutte finale (1943-1945)
EAN13
9782213690360
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Fayard)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
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La Panzerdivision Wiking : la lutte finale (1943-1945)

La lutte finale (1943-1945)

FeniXX réédition numérique (Fayard)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782213690360
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    9.49

  • Aide EAN13 : 9782213694528
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    9.49
Dès le printemps 1940, alors que la guerre à l'Ouest vient seulement de
commencer, les Allemands font appel à des volontaires de pays que la
propagande nationale-socialiste revendique comme germaniques. Quelques
milliers de Danois, de Norvégiens, de Finlandais, de Suédois, de Hollandais,
de Flamands, et même de Suisses, répondent à cet appel. Ils vont constituer,
avec des citoyens du Reich et des nationaux roumains ou hongrois d'origine
allemande, une unité militaire de vingt mille hommes placés sous les ordres de
Félix Steiner, ancien officier des troupes d'assaut de 14-18. Placés en tête
des troupes d'invasion dans le secteur méridional du front de l'Est, ces
volontaires germaniques vont se battre jusqu'aux montagnes du Caucase et
manquer de peu d'atteindre les rives de la mer Caspienne. Cette aventure,
tragique et méconnue, a été racontée dans un premier volume : La division
Wiking, Arthème Fayard éditeur, 1980. Ce deuxième tome évoque la lutte finale
des volontaires germaniques. Leur unité devient une division blindée : La
Panzerdivision Wiking. Un bataillon d'Estoniens remplace celui des Finlandais,
puis arrivent en renfort, avec le chef du Rexisme Léon Degrelle, les deux
mille volontaires belges de la brigade d'assaut Wallonie. Avec d'autres unités
de la Wermacht, ces hommes de la Waffen SS, que commande désormais le
Gruppenführer Gille, sont alors encerclés près de Tcherkassy, sur le Dniepr,
et ils ne parviendront à percer les lignes soviétiques qu'au prix de pertes
effroyables. Les survivants quitteront alors l'Ukraine pour se battre sur la
frontière polonaise. Ils résisteront pendant des mois devant Varsovie, mais
ils seront incapables, au début de l'année 1945, de reprendre Budapest. Vient
alors la longue marche qui les conduit vers la captivité, à travers l'Autriche
et la Bavière. Du premier au dernier jour, les Vikings du IIIe Reich n'auront
jamais quitté le front de l'Est, où ils ont été les plus rudes soldats d'une
guerre gigantesque et impitoyable.
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