- EAN13
- 9782749920337
- ISBN
- 978-2-7499-2033-7
- Éditeur
- Michel Lafon
- Date de publication
- 05/2013
- Nombre de pages
- 301
- Dimensions
- 23,5 x 15,4 x 2,6 cm
- Poids
- 455 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 347.012
- Fiches UNIMARC
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Le calvaire et le pardon. Les ravages d'une erreur judiciaire revue et corrigée
De Eric Dupond-Moretti, Loïc Secher
Michel Lafon
Autre version disponible
C'est la première fois qu'un procès en révision a lieu après une double condamnation, en première instance et en appel.
Novembre 2000. Police et justice s'abattent sur Loïc Sécher. Une jeune fille de 14 ans se déclare victime d'un viol. La description de l'agresseur correspond à Loïc et il est son voisin. Une enquête et un jugement sans preuves réelles, sans ADN, sans aveux et sans faisceau de présomptions autre que les déclarations de la jeune victime : il n'en faudra pas plus pour le jeter derrière les barreaux pendant sept longues années, dans les conditions de détention que les autres prisonniers réservent aux violeurs. Il faudra attendre 2008 pour que Me Dupond-Moretti obtienne que s'ouvre un procès en révision à la suite des rétractations de l'accusatrice, qui ne supportait pas d'avoir chargé un homme n'ayant, en fait, jamais posé les mains sur elle.
C'est la première fois qu'un procès en révision a lieu après une double condamnation, en première instance et en appel.
Et il a fallu ensuite un combat acharné pour que la justice accorde à Loïc Sécher une indemnité de compensation pour le préjudice subi par celui qui est enfin, non pas acquitté, mais INNOCENTE. Mais un chèque, si important soit-il, peut-il tout effacer quand un innocent a perdu sept années de sa vie en prison ?
ET SI CELA VOUS ARRIVAIT, A VOUS ?
Novembre 2000. Police et justice s'abattent sur Loïc Sécher. Une jeune fille de 14 ans se déclare victime d'un viol. La description de l'agresseur correspond à Loïc et il est son voisin. Une enquête et un jugement sans preuves réelles, sans ADN, sans aveux et sans faisceau de présomptions autre que les déclarations de la jeune victime : il n'en faudra pas plus pour le jeter derrière les barreaux pendant sept longues années, dans les conditions de détention que les autres prisonniers réservent aux violeurs. Il faudra attendre 2008 pour que Me Dupond-Moretti obtienne que s'ouvre un procès en révision à la suite des rétractations de l'accusatrice, qui ne supportait pas d'avoir chargé un homme n'ayant, en fait, jamais posé les mains sur elle.
C'est la première fois qu'un procès en révision a lieu après une double condamnation, en première instance et en appel.
Et il a fallu ensuite un combat acharné pour que la justice accorde à Loïc Sécher une indemnité de compensation pour le préjudice subi par celui qui est enfin, non pas acquitté, mais INNOCENTE. Mais un chèque, si important soit-il, peut-il tout effacer quand un innocent a perdu sept années de sa vie en prison ?
ET SI CELA VOUS ARRIVAIT, A VOUS ?
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