- EAN13
- 9791036906329
- Éditeur
- Seuil (réédition numérique FeniXX)
- Date de publication
- 1965
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Une femme, veuve, ses enfants partis pour l’école, dispose de son après-midi.
Elle le passe à se promener dans la ville, puis s’assied à une terrasse de
café et là — ou ailleurs ? — elle assiste et participe à un fait-divers
mouvementé. — Philippe, un adolescent, entretient un commerce épisodique avec
un voisin bizarre, M. Antoine, au sort de qui le sien sera lié, fatidiquement.
— Marthe et son mari, conviés à une étrange noce villageoise, seront, le
lendemain, séparés peut-être à jamais. Dans ces trois nouvelles l’anecdote
mystérieuse importe moins que l’événement qu’elle signifie pour les
personnages ; la saisie, en eux, d’une part jusqu’alors silencieuse et qui les
oblige à “se dire” — ou à s’y essayer. Pour la jeune femme d’“Un après-midi de
juin” il n’y a rien que l’itinéraire qu’elle suit pas à pas mais dont à la fin
elle ne pourra débrouiller les fils. Pour Philippe, le destin de M. Antoine
l’entraîne dans un débat au terme duquel il verra le visage de sa propre mort.
Pour Marthe, dès le jour de la noce, s’ouvre l’étendue d’une absence qu’elle
devra parcourir avec ses seules forces d’amour. Chaque fois, une certaine
hypnose vaut prise de conscience.
Elle le passe à se promener dans la ville, puis s’assied à une terrasse de
café et là — ou ailleurs ? — elle assiste et participe à un fait-divers
mouvementé. — Philippe, un adolescent, entretient un commerce épisodique avec
un voisin bizarre, M. Antoine, au sort de qui le sien sera lié, fatidiquement.
— Marthe et son mari, conviés à une étrange noce villageoise, seront, le
lendemain, séparés peut-être à jamais. Dans ces trois nouvelles l’anecdote
mystérieuse importe moins que l’événement qu’elle signifie pour les
personnages ; la saisie, en eux, d’une part jusqu’alors silencieuse et qui les
oblige à “se dire” — ou à s’y essayer. Pour la jeune femme d’“Un après-midi de
juin” il n’y a rien que l’itinéraire qu’elle suit pas à pas mais dont à la fin
elle ne pourra débrouiller les fils. Pour Philippe, le destin de M. Antoine
l’entraîne dans un débat au terme duquel il verra le visage de sa propre mort.
Pour Marthe, dès le jour de la noce, s’ouvre l’étendue d’une absence qu’elle
devra parcourir avec ses seules forces d’amour. Chaque fois, une certaine
hypnose vaut prise de conscience.
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