Trois grands fauves

"Une incontestable réussite" Le Journal du Dimanche

"Un beau tour de force... Histoire originale, cocasse et déconcertante " Le
Canard Enchaîné

"Des portraits lumineux, portés par une écriture sophistiquée à l'encre noire
" L'Express

"Les fauves, hésitant à pénétrer dans la dernière cage." Transfuge

"Cet auteur a tous les talents" Bernard Lehut, RTL

"Un livre qui donne envie de vivre" Colombe Schneck, France Inter

"Inattendu, rythmé, émouvant, le nouveau roman de Hugo Boris est tout
simplement brillant" PAGE des libraires

"Ode à la rage poétique... oeuvre passionnelle, personnelle et débridée sur la
filiation, le pouvoir et une certaine forme d'orgueil... ou d'immortalité."
Christine Ferniot, LIRE

"Un roman d'une éclatante intelligence" TGV Magazine

"Une vérité qui échappe aux historiens... la figure nouvelle du grand homme"
Ouest France

" Quel style ! Il n'y a pas que les fauves qui rugissent, ici. Il y a aussi –
et avant tout – le talent d'Hugo Boris ", Ouest France

"Un texte ambitieux et étonnant" La Nouvelle République du Centre-Ouest

"Un beau style clair et poétique" L'Essor Sarladais

"Un récit vif et prenant" L'Hebdo

" Voilà un auteur touche-à-tout qui bâtit patiemment une œuvre de qualité. ",
Eric Blaise, La Voix du Nord

"Trois Grands Fauves subjugue par sa puissance nerveuse d'évocation" 24 Heures
Régions

"Hugo Boris règne avec une concision virtuose" 24 Heures Lausanne


Prix Emmanuel-Roblès pour Le Baiser dans la nuque (Belfond, 2005 ; Pocket,
2007).

Premier prix littéraire des Hebdos en Région pour La Délégation norvégienne
(Belfond, 2007 ; Pocket, 2009).

Prix Amerigo-Vespucci pour Je n'ai pas dansé depuis longtemps (Belfond, 2010 ;
Pocket, 2012).