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Conseillé par Gersende G.9 août 2021
A crier dans les ruines d'Alexandra Koszelyk
Pripiat, Ukraine. 1986.
Lena et Ivan ont 13 ans lorsque le réacteur n°4 de Tchernobyl explose et met fin à l'insouciance de leur enfance. Inséparables, les deux adolescents vont pourtant devoir se quitter. Le père de Léna précipite l'exil de la famille vers la France, tandis qu'Ivan reste en zone contaminée.Vingt ans plus tard, Lena revient en Ukraine. Que signifie retrouver ses racines lorsque celles-ci ont été irradiées? Et Ivan est-il encore en vie parmi ces ruines?
De Pripiat à Pompéi, c'est de ruines, de reconstruction malgré tout et des promesses en dépit de, dont nous parle ce roman.
Et l'histoire d'amour de deux êtres qui se sont promis l'un à l'autre malgré la catastrophe et la distance. -
Conseillé par Nouvelle & Cie -. (Libraire)27 avril 2020
Un tour de force littéraire qui se dévore du début à la fin
Alexandra Koszelyk nous offre ici un premier roman envoûtant entre histoire d'amour, exil et déchirement. A crier dans les ruines est le récit d'une catastrophe doublé d'une odyssée émouvante.
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Conseillé par Martine C. (Libraire)14 avril 2020
Coup de coeur
Vingt ans après le drame, Lena revient sur les lieux de son enfance : en Ukraine, à Pripiat. Elle n'a pas oublié.. Depuis 1986. Depuis ce "Tchernobyl", cette tâche incongrue dans l'inconscient collectif.Et surtout, elle n'a jamais pu oublié son amour Ivan. Superbe roman sur l'exil tout en finesse et en poésie.
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Conseillé par Amélie F. (Libraire)5 décembre 2019
En 1986, Léna a 13 ans, elle vit à Pripiat en URSS et a une relation fusionnelle avec Ivan, son meilleur ami. Mais le 26 avril, c'est la fin d'un monde. La catastrophe nucléaire de Tchernobyl fait de nombreux dégâts, tant physiques que moraux : les habitants, d'abord contraints à une fuite immédiate à cause des risques radioactifs sont ensuite mis au ban de la société. La famille de Léna, quant à elle, a tout de suite quitté le pays et s'est installée en France. Commence alors un exil de vingt ans pour la jeune femme qui, en grandissant, n'aura pas oublié son ami de toujours.
Plus qu'un livre sur la catastrophe nucléaire en elle-même, A crier dans les ruines est un roman sur un amour impossible et sur l'exil forcé. Alexandra Koszelyk aborde la façon dont les habitants de la région ont vu leur vie entièrement chamboulée suite à cet événement, mais aussi comment des familles ont été brisés, des amours perdues. -
Conseillé par Mémoire 7 Littérature -. (Libraire)21 septembre 2019
L'amour est-il possible après Tchernobyl ?
Une réponse romanesque.
Intense !
Guillaume -
Conseillé par Sophie G. (Libraire)8 septembre 2019
D'amour et d'exil
Tchernobyl. Début des années 80. Lena et Ivan se connaissent depuis l'enfance, amis pour la vie, amour naissant à l'adolescence. La plus grande catastrophe nucléaire de l'histoire va les séparer. L'envers du décor de l'expatriation en France pour Lena, le retour en Ukraine en 2006 sera l'occasion pour elle de tout nous dévoiler. Un premier roman riche en cultures, en émotions, une écriture d'un esthétisme certain, une magnifique découverte !
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Conseillé par Victoire R. (Libraire)29 août 2019
"A crier dans les ruines" raconte l'histoire d'un exil. L'histoire d'une nation, d'une terre que l'on laisse derrière soi. La fin d'une romance, d'une amitié à peine consommée. La découverte d'une nouvelle terre et l'oubli de l'ancienne.
Léna, jeune ukrainienne vivant dans la région de Tchernobyl est obligée de fuir avec sa famille suite à l'accident de la centrale. Âgée de 13 ans au moment du drame, elle passera 20 ans à chercher les réponses que ni sa famille ni les informations n'ont pu lui donner.
L'histoire d'une reconstruction, d'un retour aux sources et à ses racines.
Un très beau roman. -
Conseillé par Elise G. (Libraire)28 août 2019
Un très beau premier roman
Alexandra Koszelyk raconte la vie de Lena et Ivan, deux adolescents très amoureux, séparés en 1986 par la catastrophe de Tchernobyl. Lena est une « privilégiée » et passe à l’ouest tandis qu’Ivan attend l’évacuation de la zone. Vingt ans plus tard, Lena est déterminée à retrouver son pays et son amour.
J’ai été véritablement conquise par ce très beau premier roman emprunt de nostalgie où la question de l’exil est abordée avec beaucoup de justesse. -
Conseillé par lafab26 août 2019
Conseillé par Fabienne, libraire
Si vous n'en lisez qu'un ce sera celui-là ! Il y a dans ce roman toute l'âme slave, des héros hors norme, un style singulier et une vraie belle histoire d'amour, de celles qui puisent leurs racines dans les amours d'enfance. Une écriture particulièrement travaillée et émouvante. Magnifique premier roman (accessible aussi aux grands adolescents)
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Conseillé par Emma B.22 août 2019
La vie de Lena se divise en un avant et un après. Avant, il y a Pripiat, sa vie idyllique, sa famille, son meilleur ami Ivan avec qui elle partage une relation fusionnelle. Le 26 avril 1986, un réacteur de Tchernobyl explose. Commence alors après. Après, c'est l'exil en France, le silence autour de l'Ukraine qui devient un sujet interdit et le manque d'Ivan. Ivan qui est certainement mort.
Dans ce roman, Alexandra Koszelyk revient sur un des tabous de l'histoire. Elle raconte l'exil, l'arrachement à un pays, la peur de l'inconnu. Elle parle aussi d'amour et d'amitié avec pudeur. Avec un style doux et mélancolique, elle donne vie à une héroïne qui grandit et s'affirme au fil des pages. C'est un premier roman très réussi que signe cette auteure, où on ressent l'influence des grands auteurs de la Littérature, des sœurs Brontë à Camus en passant par Toltsoï. -
Conseillé par Alexandre C. (Libraire)21 août 2019
Un rappel salutaire et radical de ce que fut et de ce qu'est aujourd'hui Tchernobyl, à travers les combats continus, les désillusions et les espoirs têtus ... de Léna, d'Ivan, de Zenka...
Un livre passionnant et essentiel. -
Conseillé par Christine H. (Libraire)5 juillet 2019
Puissance et poésie
Un roman fort sur l'après Tchernobyl. Une relation d'amitié détruite par un événement imprévisible .. Un roman a ne surtout pas manquer sur cette rentrée littéraire !