Le Parisien – Épisodes 1 et 2

Antoine Menart, soixante-dix ans, veuf, sans enfant, après avoir exercé la
profession de commissaire de police à Paris, est un retraité qui vient de
perdre sa femme, Monique, après une longue maladie. Originaire de Lyon, fâché
avec son père depuis des années, parce qu’il était un joueur invétéré, ruiné,
qui a tout quitté du jour au lendemain, pour vivre à Tahiti. À l’ouverture de
son testament, Antoine hérite non seulement de l’appartement de ce dernier,
situé dans un immeuble du 6e arrondissement de Lyon, mais son père lui demande
de veiller sur sa fille, donc la demi-sœur d'Antoine, Sonia Menart, mère
célibataire d’une petite fille de neuf ans, Victoria, qu’elle tente d’élever
seule. Au cours de l’épisode pilote, Antoine devient consultant pour le jeune
lieutenant Lucas Lapointe, avec qui il a travaillé quand ce dernier était
stagiaire au commissariat de police qu’il dirigeait, sur une enquête pour une
effraction, dans les archives de l’école primaire. C’est grâce à Lucas,
bénévole dans une association d’aide à la réinsertion d’anciens détenus, «
Nouveau départ », qu’Antoine croise Stéphanie Saint-Clair, qui, après le
suicide de son mari, ancien détenu, a fondé cette association humanitaire. Le
Parisien, c’est avant tout l’idée de Stéphanie de former un binôme entre Lucas
et Antoine pour les nombreux dossiers de réinsertion dont elle s’occupe.