- EAN13
- 9782600313957
- Éditeur
- Droz
- Date de publication
- 2010
- Collection
- Textes Littéraires Français
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Histoires prodigieuses (édition de 1561). Edition critique
Pierre Boaistuau, Stephen Professeur Bamforth, Jean Céard
Droz
Textes Littéraires Français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782600313957
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En publiant en 1560 ses Histoires prodigieuses, œuvre parmi les plus curieuses
et les plus populaires de la Renaissance, Pierre Boaistuau fonde un genre qui,
jusqu’à la fin du siècle, aura les faveurs du public : celui du livre illustré
sur les monstres et prodiges. S’il prétend instruire et édifier, l’ouvrage
cherche tout autant à divertir et à piquer la curiosité ; il traite des
illusions de Satan aussi bien que des morts inouïes de puissants personnages,
des pierres précieuses non moins que des inondations et des tremblements de
terre, des monstres marins autant que des amours prodigieuses. On savait que
Pierre Boaistuau en avait dédié une première version à la reine Elisabeth
d’Angleterre : la récente découverte de ce manuscrit, somptueusement relié et
enluminé, permet à Stephen Bamforth et à Jean Céard d’en donner l’édition
critique depuis longtemps souhaitée. L’introduction analyse l’évolution du
texte et de l’image ; une bibliographie recense toutes les éditions de
l’œuvre, y compris ses continuations et ses traductions, jusqu’à la fin du
seizième siècle. L’annotation identifie les sources, souvent dissimulées, de
l’auteur et le montre au travail, soucieux qu’il fut de conquérir les lecteurs
en leur dispensant les trésors de son érudition et les richesses de son
savoir.
*[5e]: Cinquième
et les plus populaires de la Renaissance, Pierre Boaistuau fonde un genre qui,
jusqu’à la fin du siècle, aura les faveurs du public : celui du livre illustré
sur les monstres et prodiges. S’il prétend instruire et édifier, l’ouvrage
cherche tout autant à divertir et à piquer la curiosité ; il traite des
illusions de Satan aussi bien que des morts inouïes de puissants personnages,
des pierres précieuses non moins que des inondations et des tremblements de
terre, des monstres marins autant que des amours prodigieuses. On savait que
Pierre Boaistuau en avait dédié une première version à la reine Elisabeth
d’Angleterre : la récente découverte de ce manuscrit, somptueusement relié et
enluminé, permet à Stephen Bamforth et à Jean Céard d’en donner l’édition
critique depuis longtemps souhaitée. L’introduction analyse l’évolution du
texte et de l’image ; une bibliographie recense toutes les éditions de
l’œuvre, y compris ses continuations et ses traductions, jusqu’à la fin du
seizième siècle. L’annotation identifie les sources, souvent dissimulées, de
l’auteur et le montre au travail, soucieux qu’il fut de conquérir les lecteurs
en leur dispensant les trésors de son érudition et les richesses de son
savoir.
*[5e]: Cinquième
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