- EAN13
- 9782491801250
- Éditeur
- Editions MKDC
- Date de publication
- 19/01/2021
- Collection
- Classiques
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782491801250
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1.99
D'un seul regard, le promeneur embrasse la beauté paisible de la campagne et
le spectacle grandiose de l'océan... À la manière d un cinéaste, Victor Hugo
qui vécut là un long exil, entraîne le lecteur à la découverte des îles anglo-
normandes telles qu'elles furent, avec leurs légendes et leurs traditions,
leurs petits métiers et leurs activités. Ce texte vit le jour pour la première
fois en 1883. C'était la dernière œuvre que Victor Hugo publiait. Extrait :
Mais le gros temps n’est pas le plus grand risque de cette navigation de
l’archipel ; la bourrasque est violente, et la violence avertit ; on rentre au
port, ou l’on met à la cape, en ayant soin de placer le centre d’effort des
voiles au plus bas ; s’il survente, on cargue tout, et l’on peut se tirer
d’affaire. Les grands périls de ces parages sont les périls invisibles,
toujours présents, et d’autant plus funestes que le temps est plus beau. Dans
ces rencontres-là, une manœuvre spéciale est nécessaire. Les marins de l’ouest
de Guernesey excellent dans cette sorte de manœuvre qu’on pourrait nommer
préventive.
le spectacle grandiose de l'océan... À la manière d un cinéaste, Victor Hugo
qui vécut là un long exil, entraîne le lecteur à la découverte des îles anglo-
normandes telles qu'elles furent, avec leurs légendes et leurs traditions,
leurs petits métiers et leurs activités. Ce texte vit le jour pour la première
fois en 1883. C'était la dernière œuvre que Victor Hugo publiait. Extrait :
Mais le gros temps n’est pas le plus grand risque de cette navigation de
l’archipel ; la bourrasque est violente, et la violence avertit ; on rentre au
port, ou l’on met à la cape, en ayant soin de placer le centre d’effort des
voiles au plus bas ; s’il survente, on cargue tout, et l’on peut se tirer
d’affaire. Les grands périls de ces parages sont les périls invisibles,
toujours présents, et d’autant plus funestes que le temps est plus beau. Dans
ces rencontres-là, une manœuvre spéciale est nécessaire. Les marins de l’ouest
de Guernesey excellent dans cette sorte de manœuvre qu’on pourrait nommer
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