Henri Martin du musée Henri-Martin de Cahors, Avec visite de Labastide-du-Vert et Saint-Cirq-Lapopie sur les traces du peintre
EAN13
9782365411813
Éditeur
Jean-Luc Petit éditions
Date de publication
Collection
Photos
Langue
français
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Henri Martin du musée Henri-Martin de Cahors

Avec visite de Labastide-du-Vert et Saint-Cirq-Lapopie sur les traces du peintre

Jean-Luc Petit éditions

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51 Photos. Des tableaux du musée de Cahors mais aussi des villages de
Labastide-du-Vert et Saint-Cirq-Lapopie où le peintre a vécu... par Stéphane
Ternoise...le lotois \- http://www.lotois.fr

Présentation du projet par l'écrivain photographe :

J'ai profité des journées du patrimoine, pour revisiter, dimanche 18 septembre
2011, le musée Henri-Martin de Cahors. Avec l'intention de réaliser ce livre.
Doit-on classer l’impressionniste parmi les peintres majeurs ? Ou uniquement à
Cahors ? Où il n'est pas né, où il n'est pas mort ! Mais en 1942 il légua 17
de ses toiles à la Ville. Sûrement par amitié pour Anatole de Monzie, maire de
1919 à 1942 justement. Précédemment, à la fin des années 1920, il avait
réalisé, pour la ville, sous forme d'un triptyque, un Monument aux morts que
monsieur le maire souhaitait original.

Henri Martin est né à Toulouse en 1860, décédé, en 1943, à La Bastide du Vert
où il installa son atelier, à 21 kilomètres de la préfecture du Lot, sur la
route de Fumel, 7 kilomètres avant Prayssac.

Ces 18 toiles ornèrent la salle du Conseil municipal. Face à la mise en danger
de ce "décor", les jours d'affluence aux séances du Conseil, il fut décide, en
1966, de leur trouver une place dans l'aile nord du musée... durant la
restauration de salles de l'Hôtel de Ville...

Son oeuvre a résisté au temps : le musée de Cahors porte désormais son nom et
la municipalité a cassé sa tirelire (en obtenant une participation à hauteur
de 75% de partenaires, l'État, la Région, le conseil général) pour obtenir 15
nouvelles toiles lors d'une vente aux enchères le 1er avril 2012 ; la
publicité autour de cette volonté d'acquisition ayant entraîné une hausse
substantielle des niveaux de transactions...

Il n'est sûrement pas surprenant qu'après une longue "traversé du désert", ce
peintre très populaire durant la IIIe République, plaise de nouveau : son
oeuvre est décrite comme l’expression apaisée d'un monde idéalisé.

Stéphane Ternoise mai 2012
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